292 pages, 2007
Résumé : Les femmes d’Arlington Park, une banlieue résidentielle en Angleterre, ont tout pour être heureuses. En apparence.
Car il n’en est rien. Derrière ces vies tirées au cordeau, frustrations, jalousies, déceptions règnent sans partage.
Juliet Randall, Maisie Carrington, Amanda Clapp, Solly Keir-Leigh : chacune a le sentiment d’être passée à côté de sa vie. Chacune tente de se révolter, de résister à la banalité, au passage du temps qui émousse le désir, fane la beauté et affaiblit les êtres.
Fille spirituelle de Virginia Woolf et de Nathalie Sarraute, Rachel Cusk raconte vingt-quatre heures de la vie de ces femmes. On entre dans leur cuisine, on les suit au supermarché, dans une cabine d’essayage. On pénètre aussi dans leur conscience et leurs pensées.
Arlington Park dynamite les clichés sur la famille, le couple, la maternité, avec une lucidité dévastatrice. C’est un champ de bataille que Rachel Cusk nous montre, un monde «barbare jusqu’à la moelle».
Car il n’en est rien. Derrière ces vies tirées au cordeau, frustrations, jalousies, déceptions règnent sans partage.
Juliet Randall, Maisie Carrington, Amanda Clapp, Solly Keir-Leigh : chacune a le sentiment d’être passée à côté de sa vie. Chacune tente de se révolter, de résister à la banalité, au passage du temps qui émousse le désir, fane la beauté et affaiblit les êtres.
Fille spirituelle de Virginia Woolf et de Nathalie Sarraute, Rachel Cusk raconte vingt-quatre heures de la vie de ces femmes. On entre dans leur cuisine, on les suit au supermarché, dans une cabine d’essayage. On pénètre aussi dans leur conscience et leurs pensées.
Arlington Park dynamite les clichés sur la famille, le couple, la maternité, avec une lucidité dévastatrice. C’est un champ de bataille que Rachel Cusk nous montre, un monde «barbare jusqu’à la moelle».