394 pages, 1992, pages un peu jaunies
Résumé : Antoinette, la soixantaine, est veuve. Elle a adoré son mari, mort trop tôt, dont elle a deux grandes filles, l'une mariée, l'autre pas, mais toutes les deux ont des enfants, des fils. L'été, la famille se retrouve dans la maison familiale saintongeaise, La Délicieuse. C'est un moment de trêve, de bonheur partagé.
Toutefois, les occupations ne manquent pas et, cette année-là, il va même y avoir un drame : Antoinette, la mère, est victime d'un malaise cardiaque. Sauvée, c'est Eliane, la célibataire, qui la prend chez elle.
A cette occasion s'amorce une lutte entre les deux soeurs qui révèle à la fois leur rivalité, très ancienne, leur jalousie l'une pour l'autre et leur différence qu'elles acceptent mal.
Dans un mélange de haine et d'amour, elles vont violemment tout se reprocher : leurs goûts, leurs façons de vivre, d'élever leurs enfants et aussi leur rapport aux hommes... Elles commencent également à se déchirer sur l'héritage! Pourtant, Antoinette se remet et même, à la stupéfaction générale, se remarie! Mais rien ne peut plus interrompre la guerre entre les deux sœurs. Les hommes ne parviennent pas à s'interposer : cette passion - c'en est une - se vit à trois, entre mère et filles. Source : Le Livre de Poche
Toutefois, les occupations ne manquent pas et, cette année-là, il va même y avoir un drame : Antoinette, la mère, est victime d'un malaise cardiaque. Sauvée, c'est Eliane, la célibataire, qui la prend chez elle.
A cette occasion s'amorce une lutte entre les deux soeurs qui révèle à la fois leur rivalité, très ancienne, leur jalousie l'une pour l'autre et leur différence qu'elles acceptent mal.
Dans un mélange de haine et d'amour, elles vont violemment tout se reprocher : leurs goûts, leurs façons de vivre, d'élever leurs enfants et aussi leur rapport aux hommes... Elles commencent également à se déchirer sur l'héritage! Pourtant, Antoinette se remet et même, à la stupéfaction générale, se remarie! Mais rien ne peut plus interrompre la guerre entre les deux sœurs. Les hommes ne parviennent pas à s'interposer : cette passion - c'en est une - se vit à trois, entre mère et filles. Source : Le Livre de Poche